Artemias : Différence entre versions
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− | + | Sa mère l'avait prénommé Artemas, et c'est confirmé par la préfecture de Lorraine. Lassé des quolibets sur sa relative lenteur, le jeune Artemas ("Artemas la ramasse" chantonnaient ses petits camarades), qui avait bien du mal à se faire respecter avec son épée en plastique pendant la récré, finit par se rebeller. Comment? | |
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+ | En martelant qu'il s'appelait Artemis, et que l'instituteur avait mal écrit son nom sur sa liste. Personne ne le crû jusqu'à ce qu'une puberté précoce s'en mêle...A 10 ans, Artemis, déjà formé, a pu ainsi foutre quelques branlées aux contestataires encore trop frêles. | ||
+ | Attitude indigne pour la famille, toute cette brutalité était mal vue. Son grand-frère, LaCinqmas lui offrit sa première épée qui coupe et qui tue pour ses 11ans et l'initia à l'art escriminatoire. LaCinqmas était un maître d'armes réputé et généreux. Le 1er qui pratiqua l'escrimination positive en intégrant des petits sarrazins à ses cours. | ||
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+ | Artemis s'entraîna dur et pu rapidement mettre des branlées noblement et dignement à l'épée à ceux qui l'embêtaient à l'école. Il était un des meilleurs épéiste avec Faridas, jeune sarrazin au destin tragique. Faridas, fils de boulanger, coupait la pâte à l'épée, réalisant de fines galettes de blé, qu'il garnissait de viandes et de légumes et qu'il revendait à des chinois pour leurs soirées karaoké. Un jour son père remporta un appel d'offres pour l'ambassade mexicaine qui cherchaient des plats originaux. Faridas eu un succès énorme avec ses galettes, mais au cours de la soirée, dans un bref instant d'obscurité...un cri...la lumière revint...Faridas à terre, transpercé par une épée. En son hommage, l'ambassadeur du Mexique, de retour dans son pays, présenta les Faridas à ses amis...la suite on la connaît, les mexicains ont un accent foireux et avec le temps Faridas est devenu Fajitas. | ||
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+ | Principal suspect du meurtre, car oui c'en était un, n'ayons pas peur des mots et appelons un chat un chat, Artemis fut innocenté et le mystère sur la mort mystérieuse de Faridas demeure... Très marqué par cette affaire, il erra dans les bois avec sa bîte et son épée pendant des mois, se nourrissant de baies et de fruits...puis il rentra dans les ordres, devint prêtre, et comme niveau marketing, un prêtre mousquetaire ça en jette, et que le bougre était doué avec son épée...et son épée (très apprécié des dames Artemis), Artemis devint mousquetaire. | ||
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+ | Et puis ça l'a gavé. Voulant rompre avec son passé et renouer avec ses origines, il prêcha dans sa bourgade d'enfance près de sa mère pour qui il exauça le dernier soupir avant qu'elle n'expire: "Artemis, mon chéri, redeviens mon enfant Artemas...ou alors fais un mix...aaargh"... | ||
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+ | Artemias venait de naître. | ||
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+ | Toute ressemblance avec le mousquetaire légendaire d'Alexandre Dumas, Aramis, ne serait que pure coïncidence. |
Version actuelle datée du 28 novembre 2009 à 16:06
Ancien mousquetaire.
Sa mère l'avait prénommé Artemas, et c'est confirmé par la préfecture de Lorraine. Lassé des quolibets sur sa relative lenteur, le jeune Artemas ("Artemas la ramasse" chantonnaient ses petits camarades), qui avait bien du mal à se faire respecter avec son épée en plastique pendant la récré, finit par se rebeller. Comment?
En martelant qu'il s'appelait Artemis, et que l'instituteur avait mal écrit son nom sur sa liste. Personne ne le crû jusqu'à ce qu'une puberté précoce s'en mêle...A 10 ans, Artemis, déjà formé, a pu ainsi foutre quelques branlées aux contestataires encore trop frêles. Attitude indigne pour la famille, toute cette brutalité était mal vue. Son grand-frère, LaCinqmas lui offrit sa première épée qui coupe et qui tue pour ses 11ans et l'initia à l'art escriminatoire. LaCinqmas était un maître d'armes réputé et généreux. Le 1er qui pratiqua l'escrimination positive en intégrant des petits sarrazins à ses cours.
Artemis s'entraîna dur et pu rapidement mettre des branlées noblement et dignement à l'épée à ceux qui l'embêtaient à l'école. Il était un des meilleurs épéiste avec Faridas, jeune sarrazin au destin tragique. Faridas, fils de boulanger, coupait la pâte à l'épée, réalisant de fines galettes de blé, qu'il garnissait de viandes et de légumes et qu'il revendait à des chinois pour leurs soirées karaoké. Un jour son père remporta un appel d'offres pour l'ambassade mexicaine qui cherchaient des plats originaux. Faridas eu un succès énorme avec ses galettes, mais au cours de la soirée, dans un bref instant d'obscurité...un cri...la lumière revint...Faridas à terre, transpercé par une épée. En son hommage, l'ambassadeur du Mexique, de retour dans son pays, présenta les Faridas à ses amis...la suite on la connaît, les mexicains ont un accent foireux et avec le temps Faridas est devenu Fajitas.
Principal suspect du meurtre, car oui c'en était un, n'ayons pas peur des mots et appelons un chat un chat, Artemis fut innocenté et le mystère sur la mort mystérieuse de Faridas demeure... Très marqué par cette affaire, il erra dans les bois avec sa bîte et son épée pendant des mois, se nourrissant de baies et de fruits...puis il rentra dans les ordres, devint prêtre, et comme niveau marketing, un prêtre mousquetaire ça en jette, et que le bougre était doué avec son épée...et son épée (très apprécié des dames Artemis), Artemis devint mousquetaire.
Et puis ça l'a gavé. Voulant rompre avec son passé et renouer avec ses origines, il prêcha dans sa bourgade d'enfance près de sa mère pour qui il exauça le dernier soupir avant qu'elle n'expire: "Artemis, mon chéri, redeviens mon enfant Artemas...ou alors fais un mix...aaargh"...
Artemias venait de naître.
Toute ressemblance avec le mousquetaire légendaire d'Alexandre Dumas, Aramis, ne serait que pure coïncidence.